Spectacles 2024
"Les lapins sont toujours en retard"
Les 25,26 et 27 octobre 2024 dans la salle de l’Amitié à Limal
Avec : (par ordre alphabétique)
CABANIER Rianne- La PSY
C’est une femme froide et sans saveur.
DELAIVE Vincent - ALEX
Plutôt bel homme, charismatique et séducteur. (c'est l’amoureux d’Alice).
DENIS Jean-Luc - Agent BRUNEAU
Le collègue de Sandra. Gentil mais étourdi et maladroit, c’est un boulet plein de bonne volonté.
GILMONT Ophelie - ALICE & SANDRA
Alice : Une jeune fille simple, sans artifice. Douce, lumineuse, timide et un peu maladroite.
Sandra : C’est la sœur jumelle d’Alice. Mais c’est tout le contraire. Elle a beaucoup de caractère et peu d’affect. Elle est agent des services secrets.
GRANGE Roselyne- Agent MICHEL
La cheffe des services secrets. Personnage totalement égocentrique et pédant.
KAPLAN Arca - FRANCK
Le mari de Colette. Il est maladroit et touchant.
KASONGHO Laurent- Père MONFORT
Prètre et témoin.
MAGOCHE Manon - COLETTE
C’est la meilleure amie de Sandra.
MEURISSE Sophie - Mme RAMI
Femme de la victime.
L'auteur :
Ariane MOURIER
Ariane a commencé shampouineuse dans un salon de coiffure, a terminé avocate, et a finalement décidé de devenir comédienne après une formation aux cours Florent.
Elle est aussi auteure, danseuse, clown, bilingue en anglais et adore ajouter des cordes à son arc.
Elle joue autant dans de grands classiques que dans des comédies, ou des pièces de genre avec Alimentation générale, une pièce de zombies.
On l’a également découverte dans un registre plus poétique avec le rôle éponyme de Gueule d’ange. Elle a partagé la scène avec plusieurs têtes d’affiche comme Pierre Palmade dans Le Fils du comique.
Elle a dernièrement interprété la pièce qu’elle a écrite Les lapins sont toujours en retard dans une mise en scène de David Roussel au Théâtre des Béliers.
À la télévision, elle apparaît dans la série En famille ; Les Beaux Malaises et au cinéma dans Les Têtes de l’emploi.
La mise en scène :
Enea DAVIA
Après des études d’instituteur primaire, je passe l’examen d’admission au Conservatoire Royal de Bruxelles (en 1992).
C’est Bernard Damien et ses chargés de cours (Annette Brodkom, Anne-Marie Capelliez, Betty Dieudonné et Alain Doom) qui me formeront durant quatre ans, alors que je mène de front mon
premier métier dans les écoles primaires de Saint-Josse-ten-Noode.
Ce n’était pas toujours facile de passer du statut de prof à celui d’élève…
Depuis, j’ai touché à tous les métiers de la scène : comédien, chanteur, régisseur, vendeur de billets…
Cela fait quelques temps aussi que je suis passé de l’autre côté du miroir et m’adonne à la mise en scène. Un autre métier, mais tout aussi fascinant.
Je passe de l’ombre à la lumière…
Depuis 2001, je donne des cours d’éloquence, de déclamation, de technique de base et d’orthophonie à l’Athénée Royal de Rixensart, en partenariat avec
l’Académie de Court-Saint-Etienne, dans la section « Théâtre et Arts de la Paroles ».
J’ai beaucoup de chance, j’exerce au quotidien mes deux passions : les arts de la scène et l’enseignement.
Il était une fois une petite fille à qui l’on racontait des contes de fées qui se terminaient inlassablement par « ils se marièrent, eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours ».
Et puis, après, il y a la réalité de la vie. La vie telle qu’elle est maintenant, telle qu’on a tenté de nous l’apprendre, telle qu’on la voit, ou telle qu’on en a envie.
J’ai choisi de parler de deux sœurs jumelles pour aborder les ambivalences qui nous habitent et que nous devons tous apprivoiser.
Deux sœurs jumelles que tout oppose, à part cette soif de vivre, cette envie d’être libre, dans un monde absurde, qui ressemble étrangement au nôtre...